Le 21 août 2022, je suis allé regarder ces trois artistes : l’occasion pour moi de revisiter et de redécouvrir la capitale de l’Ontario. La sonorisation était ce que j’aie entendu de plus horrible à une scène de cet acabit. Je m’explique difficilement cette faille frappante. Serait-ce que les caractéristiques acoustiques du centre Rogers ne soient pas adaptés aux spectacles de musique? En tous cas, c’est fort étonnant quand on sait que les groupes de cette renommée amènent habituellement leur propre équipe de techniciens sur les lieux. Seuls The Strokes pouvaient se féliciter d’un son qui fasse plus ou moins honneur à leur musique. Chez les autres artistes, il s’agissait d’un brouhaha inintelligible que l’on ne peu écouter qu’en ayant des bouchons dans les oreilles. Thundercat La prestation et la présence même de cet artiste à un tel événement m’a paru un peu gratuite. C’était du jazz recouvert d’un vernis pseudo-punk, mi-figue mi-raisin, se soustrayant aux exigences élevées d’un publi...
Je lis, je vais à des spectacles et je partage. À Montréal.